Un camerounais de 19 ans tué à coup de poignard en italie

Ange Jordan Tchombia assassiné par un marocain à Tortona

Arrivé en Italie en avril 2024, le jeune Ange Jordan avait été accueilli dans un camp de réfugiés de la ville de Tortona dans la province d’Alessandrie en Italie. Parti du cameroun pour l’Italie avec son frère, il arrivera finalement seul à destination après avoir perdu celui-ci durant le trajet en Libye.

Le 31 janvier 2025, à la station de train de Tortona, le pire arrivera. Après avoir garé son scooter à l’entrée d’un local où il s’était arrêté avec ses amis, le jeune camerounais découvre à travers les vitres du local que des inconnus manipulent son scooter.

Il décide donc de sortir et de suivre le voleur, un marocain âgé de 24 ans.

Une altercation se déclenchera entre le voleur et Ange Jordan, déterminé à récupérer le seul engin qui lui servait de déplacement. Le voleur marocain poignardera Ange Jordan à la poitrine.

Secouru par des passants, Ange Jordan rendra l’âme durant le trajet pour l’hôpital.

Ce n’est pas la première fois qu’une tragédie du genre arrive. En juillet 2024, à Berlin, un autre camerounais, le regretté William Chedjou s’est fait poignarder par un Arabe Turc lors d’une dispute pour une place de parking.

Les cas de violences et d’agressions des africains de la part des arabes ne datent pas d’aujourd’hui. Les africains installés dans les pays Arabes sont fréquemment victimes de viols, d’attouchements (pour les femmes), d’injures publiques, d’assassinats de la part des arabes sans que les autorités de ces pays ne prennent des mesures pour rendre justice aux victimes.

Les sévices perpétrés sur les noirs par les arabes pendant l’esclavage arabo musulman témoignent de ces rapports malsains : les hommes étaient castrés et les femmes violées à répétition.

Il est temps que les africains comprennent que les arabes ne sont pas leurs frères, car ils n’ont ni la même origine, ni la même histoire, bien q’uils partagent le même continent à cause d’un accident de l’histoire. Les arabes considèrent les noirs comme des sous-hommes et le démontrent tout le temps lors de leurs interactions avec eux. Il suffit d’écouter les témoignages des frères et sœurs bozayeurs sur les atrocités subies pendant leur parcours en Libye ou au Maroc.

Les africains devraient éviter au maximum les interactions et les altercations avec les arabes, ils ne sont pas nos frères !

Une marche est organisée le 8 février à Tortona par l’association “Tortona non odia“. Une autre manifestation est prévue le 15 février par les africains de Tortona pour dénoncer ce crime de trop, afin que justice soit rendue au jeune frère et que son assassin soit mis aux arrêts.